Dans le même genre et sorti quasi en même temps  : Volcano avec Tommy Lee Jones. Et aussi subtil d'ailleurs (sinon plus).

Je le trouve pire .... niveau crédibilité...

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Mes sentiments sont aussi vitaux que de respirer
Privée d'amour et de tristesse,je ne peux exister
Car le souffle de la vie n'est qu'une horloge
Qui égraine les heures sans éprouver d'éloge

Bah oui là, mais je suis bon public et j'avais pas trop envie de me prendre la tête. Ou peut-être le fait que je l'ai vu au ciné étant petit me fait l'apprécier. C'est stéréotypé, c'est sûr, mais chez moi ça passe (et puis il y a bien pire). Je pense qu'avant de regarder un film Catastrophe à spectacle dans ce genre, il faut accepter le fait que l'on sait très bien à quoi s'attendre. C'est encore le cas aujourd'hui : pourquoi regarder un truc comme 2012 si on sait d'avance les critiques qu'il y aura à faire ? Certains ont choisi de ne pas le regarder (tu en fais partie je crois Arch) et ont eu raison, inutile de se pencher sur un truc alors qu'on sait d'avance que ça va nous énerver, moi j'ai regardé 2012 pour les effets spéciaux sans me soucier du fond, j'en ai pris plein les yeux et ça m'a fait plaisir. C'est un peu pareil avec Le pic de Dante, comme un gosse, j'attends toujours avec impatience le moment où ça va péter . Pas plus. (Ah, et puis j'aime bien Pierce Brosnan aussi !)


@Gandhi : Oui impossible de ne pas penser également à Volcano ! Mais j'aime bien aussi . Simplement, il faut savoir à l'avance qu'on va voir un film bien foutu techniquement (pour l'époque en tous cas), mais teinté de scènes d'héroïsme dégoulinantes de patriotisme et de guimauve. Moi j'en fais abstraction quand je regarde, mais on ne peut pas prétendre que ces films ont un fond et des personnages dignes d'intérêt c'est clair. Maintenant, comme je l'ai dit avant, il y a bien pire niveau crédibilité, il y a un seuil où je m'arrête (Ballistic, Cloverfield, Alone in the Dark, voilà de risibles navets parmi d'autres que je ne supporte pas).

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

Mon passage préféré c'est quand même quand la lave du volcan rentre dans le chalet alors qu'ils sont encore dedans et qu'ils poussent des cris super comique!
Quand la grand mère sort, je me suis dis qu'elle perdait tout, sauf sa chemise à carreaux

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Mes sentiments sont aussi vitaux que de respirer
Privée d'amour et de tristesse,je ne peux exister
Car le souffle de la vie n'est qu'une horloge
Qui égraine les heures sans éprouver d'éloge

J'aime bien aussi le Pic De Dante, il permet de se vider la tête pendant 1H30 sans penser à autre chose qu'au film.
Par contre Volcano est un navet

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Et le corbeau, immuable, est toujours installé, toujours installé sur le buste pâle de Pallas, juste au-dessus de la porte de ma chambre ; et ses yeux ont toute la semblance des yeux d’un démon qui rêve ; et la lumière de la lampe, en ruisselant sur lui, projette son ombre sur le plancher ; et mon âme, hors du cercle de cette ombre qui gît flottante sur le plancher, ne pourra plus s’élever, — jamais plus !

2012 c'est mieux tu as un avion qui évite des métro volant, des immeubles qui se pètent la gueule, juste avant séquence playstation avec une Limousine allongée, le mieux étant le camping car qui te fais la même scène que le 4x4 (avec le sol qui s'ouvre sous ses roues en +).

A une époque c'était la mode de se tirer la bourre sur le même genre de film entre studios : Planète Rouge vs Mission to Mars, Armageddon vs Deep Impact,...

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je n'ai pas de signature et je vous emmerde.

Exactement...

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

Un pur navet

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Et le corbeau, immuable, est toujours installé, toujours installé sur le buste pâle de Pallas, juste au-dessus de la porte de ma chambre ; et ses yeux ont toute la semblance des yeux d’un démon qui rêve ; et la lumière de la lampe, en ruisselant sur lui, projette son ombre sur le plancher ; et mon âme, hors du cercle de cette ombre qui gît flottante sur le plancher, ne pourra plus s’élever, — jamais plus !

déjà, vu l'affiche je me suis dit: un navet de plus, et bam qu'est-ce que je lis? devinez!!